Anne Marlangeon interroge le rapport au corps féminin, au corps différent, loin des standards du marketing et des injonctions sociales. Par sa peinture à la fois viscérale et organique, voire dérangeante, elle célèbre tous les corps : le corps ressentant, le corps envahissant ou le corps enfantant. Sous son pinceau, le corps s’impose, centré, frontal, affrontant, comme dans une position de revendication, voire de combat.